La littérature change notre façon d’aborder la vie. “Le monde […] n'a pas été créé une fois, mais aussi souvent qu'un artiste original est survenu.”[i], écrivait Marcel Proust. Les artistes et, parmi eux, les écrivains nous présentent le monde sous un jour tellement inédit qu’on ne le voit plus jamais comme avant.
(À mes yeux…,) la littérature n’a que des avantages !
Un mauvais livre – un texte qu’on n’a pas aimé – ne laissera tout au plus comme empreinte qu’un vague froncement de sourcils tandis qu’une belle œuvre – un texte qu’on a aimé – vivra en nous durablement et d’une manière inattendue.
Pour peu que nous sachions lire – ou que quelqu’un nous fasse la lecture… –, la littérature est accessible à tous, des plus jeunes aux plus éclairés.
Lire, lire la littérature, c’est aussi prendre le temps. Prendre le temps de l’introspection et de l’ouverture à la fois. Prendre le temps de lire ce qu’on veut, comme on veut, à son rythme.
La littérature nous offre une infinité de situations, d’expériences et de caractères, elle explore et questionne tout mais elle n’impose aucune doctrine, rien de définitif. C’est pourquoi “la littérature nous affranchit de nos façons convenues de penser la vie – la nôtre et celle des autres –, elle ruine la bonne conscience et la mauvaise foi. […] Elle résiste à la bêtise non pas violemment, mais de façon subtile et entêtée.”[ii]
La littérature, c’est le temps, la liberté, la vie.
Pour peu que nous sachions lire – ou que quelqu’un nous fasse la lecture… –, la littérature est accessible à tous, des plus jeunes aux plus éclairés.
Lire, lire la littérature, c’est aussi prendre le temps. Prendre le temps de l’introspection et de l’ouverture à la fois. Prendre le temps de lire ce qu’on veut, comme on veut, à son rythme.
La littérature nous offre une infinité de situations, d’expériences et de caractères, elle explore et questionne tout mais elle n’impose aucune doctrine, rien de définitif. C’est pourquoi “la littérature nous affranchit de nos façons convenues de penser la vie – la nôtre et celle des autres –, elle ruine la bonne conscience et la mauvaise foi. […] Elle résiste à la bêtise non pas violemment, mais de façon subtile et entêtée.”[ii]
La littérature, c’est le temps, la liberté, la vie.
Alors ce que rend possible ce blog, c’est ceci : partager mon amour de la littérature.
De la littérature, mais pas seulement. Par ce blog, j’essaie plus particulièrement de faire découvrir une littérature méconnue, la littérature latino-américaine, témoin d’une société passionnante et d’une histoire tourmentée.
Et dans cette littérature hispanophone, les femmes écrivains, méconnues elles aussi, trouveront une place de choix.
Cependant, ce blog ne se privera pas du plaisir de parler d’autres écrivains et d’autres arts (peinture et danse notamment).
Indépendant de mon activité professionnelle, ce blog n’est pas un hyperactif mais l’assume voire le revendique. La passion qui l’anime est tout aussi profonde.
Enfin, merci à Benoît de qui vient, entre autres, cette idée.
En espérant vous donner envie de lire.
[i] Le côté de Guermantes, in À la recherche du temps perdu, II, Bibliothèque de la Pléiade, DL 2002, p. 623. (ISBN 2070111369)
[ii] Antoine Compagnon, La littérature, pour quoi faire ?, Fayard, Coll. Leçons inaugurales du Collège de France, DL 2007, p. 67-68. (ISBN 9782213632889)
[ii] Antoine Compagnon, La littérature, pour quoi faire ?, Fayard, Coll. Leçons inaugurales du Collège de France, DL 2007, p. 67-68. (ISBN 9782213632889)